- EAN13
- 9782376651444
- ISBN
- 978-2-37665-144-4
- Éditeur
- Contre-Allée
- Date de publication
- 05/04/2024
- Collection
- LA SENTINELLE
- Nombre de pages
- 144
- Dimensions
- 19,1 x 13,6 x 1,7 cm
- Poids
- 220 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Offres
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Dans un sens, se souvenir signifie se réveiller.
Et dans ce roman l’évocation du souvenir est d’une importance cruciale. Le texte commence avec Claudio endormi, sous anesthésie générale, alors qu’il va se faire opérer de la cataracte. Cette opération lui offrira-t-elle l’opportunité, à son réveil, d’un autre regard sur l’histoire ?
Claudio, regarde est le livre le plus récent d'Alfons Cervera. Le Claudio du titre est son frère. Ils vivent ensemble. Ils sont très différents, mais ils partagent un passé commun (famille, enfance, amitiés, vie). Avec Claudio, regarde, Alfons Cervera vient pour ainsi dire clôturer le cycle des «voix fugitives», une littérature de l’oubli qui se déploie ici sur le versant de l’histoire familiale, une mémoire plus intime.
Avec Claudio, regarde on assiste à un sauvetage de l'oubli qui ne se limite pas exclusivement à l'imaginaire de la famille Cervera, mais s'étend à une forme d’universalité, jusqu'à nos quotidiens mouvementés, nous avertissant qu'il y a des « portes » qui se sont fermées à tort.
D'une manière ou d'une autre, Alfons Cervera s'oblige, ainsi que le lecteur/la lectrice, à contempler les paysages du passé. Pas en vain, comme il le dit : "le passé n'existe que lorsque nous nous en souvenons", il s’agit de récupérer la mémoire collective de l'histoire récente, activement, et ici, en l'occurrence, celle des Républicains, des vaincus, à travers la littérature.
Et dans ce roman l’évocation du souvenir est d’une importance cruciale. Le texte commence avec Claudio endormi, sous anesthésie générale, alors qu’il va se faire opérer de la cataracte. Cette opération lui offrira-t-elle l’opportunité, à son réveil, d’un autre regard sur l’histoire ?
Claudio, regarde est le livre le plus récent d'Alfons Cervera. Le Claudio du titre est son frère. Ils vivent ensemble. Ils sont très différents, mais ils partagent un passé commun (famille, enfance, amitiés, vie). Avec Claudio, regarde, Alfons Cervera vient pour ainsi dire clôturer le cycle des «voix fugitives», une littérature de l’oubli qui se déploie ici sur le versant de l’histoire familiale, une mémoire plus intime.
Avec Claudio, regarde on assiste à un sauvetage de l'oubli qui ne se limite pas exclusivement à l'imaginaire de la famille Cervera, mais s'étend à une forme d’universalité, jusqu'à nos quotidiens mouvementés, nous avertissant qu'il y a des « portes » qui se sont fermées à tort.
D'une manière ou d'une autre, Alfons Cervera s'oblige, ainsi que le lecteur/la lectrice, à contempler les paysages du passé. Pas en vain, comme il le dit : "le passé n'existe que lorsque nous nous en souvenons", il s’agit de récupérer la mémoire collective de l'histoire récente, activement, et ici, en l'occurrence, celle des Républicains, des vaincus, à travers la littérature.
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