- EAN13
- 9782213673110
- Éditeur
- Fayard
- Date de publication
- 15/01/2014
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Papier - Fayard 28,00
Pays émergent, la Chine est déjà le premier créancier étranger des Etats-Unis,
malgré un revenu nominal par tête huit fois inférieur. La moitié de ses
réserves de change suffiraient à rembourser la dette de la Grèce, du Portugal,
de l’Irlande et de l’Espagne réunis ; l’autre moitié lui permettrait d’acheter
tout l’or détenu par les Banques centrales de la planète, ou encore de
s’offrir à la fois Google, Apple, Microsoft, IBM et tous les immeubles de
Manhattan. Moins d’une décennie après son entrée à l’OMC, la Chine est le
premier exportateur mondial, inondant de ses produits des milliards de
consommateurs à travers le monde. Ce n’est pourtant que la partie émergée de
sa montée en puissance dans l’économie mondiale. Car ce sont aussi ses
capitaux qu’elle exporte à grande échelle, forte de gigantesques réserves de
change représentant l’équivalent de la production annuelle de l’Allemagne.
Ressources naturelles, entreprises étrangères, Bons du Trésor américain, rien
ne semble échapper à la boulimie d’acquisitions qui, depuis quelques années,
projette le dragon chinois aux quatre coins de la planète. A quelles sources
s’alimente cette puissance financière ? Quels objectifs la Chine poursuit-elle
dans ses acquisitions à l’étranger ? Le yuan va-t-il détrôner le dollar ?
Après la domination commerciale, l’expansion financière chinoise est-elle la
nouvelle étape d’un dessein hégémonique face à l’affaiblissement de l’Occident
? Claude Meyer s’efforce ici de répondre à ces questions sans procès
d’intention, mais aussi sans concessions.
malgré un revenu nominal par tête huit fois inférieur. La moitié de ses
réserves de change suffiraient à rembourser la dette de la Grèce, du Portugal,
de l’Irlande et de l’Espagne réunis ; l’autre moitié lui permettrait d’acheter
tout l’or détenu par les Banques centrales de la planète, ou encore de
s’offrir à la fois Google, Apple, Microsoft, IBM et tous les immeubles de
Manhattan. Moins d’une décennie après son entrée à l’OMC, la Chine est le
premier exportateur mondial, inondant de ses produits des milliards de
consommateurs à travers le monde. Ce n’est pourtant que la partie émergée de
sa montée en puissance dans l’économie mondiale. Car ce sont aussi ses
capitaux qu’elle exporte à grande échelle, forte de gigantesques réserves de
change représentant l’équivalent de la production annuelle de l’Allemagne.
Ressources naturelles, entreprises étrangères, Bons du Trésor américain, rien
ne semble échapper à la boulimie d’acquisitions qui, depuis quelques années,
projette le dragon chinois aux quatre coins de la planète. A quelles sources
s’alimente cette puissance financière ? Quels objectifs la Chine poursuit-elle
dans ses acquisitions à l’étranger ? Le yuan va-t-il détrôner le dollar ?
Après la domination commerciale, l’expansion financière chinoise est-elle la
nouvelle étape d’un dessein hégémonique face à l’affaiblissement de l’Occident
? Claude Meyer s’efforce ici de répondre à ces questions sans procès
d’intention, mais aussi sans concessions.
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