Pandora (Tome 5)

Surprenant, parfois troublant mais toujours passionnant. Le Parisien /
Aujourd'hui en France Des histoires très variées, de haute volée et
imaginatives à l’opposé de la tendance forte de la BD du réel. Le format court
oblige à une écriture nerveuse très agréable à lire. Le casting est
impressionnant. France Inter Dans tous les sens, pour tous les goûts, mais
uniquement les bons. Le Vif / L’Express Un mélange des cultures, des
générations, des esthétiques, avec pour seule contrainte d’épouser la fiction.
Beau pari. Trois couleurs Casterman crée un support afin d’explorer de
nouvelles formes narratives. Davantage à manger qu’à boire. 24 heures La
nouvelle revue comble un manque. Elle succède à (A Suivre), dont elle partage
les exigences esthétiques, mais témoigne de l’évolution du 9e art. Le Temps
Une nouvelle revue de BD vient de voir le jour qui présente, sans jargon ni
esbroufe modernistes, une trentaine d'histoires courtes, inédites et
d’inspiration extrêmement diverses. Elle permet au lecteur qui aime la BD sans
être un spécialiste de découvrir de nouveaux auteurs, de jeunes talents et de
grands noms. Le Figaro Fort de ses 264 pages et de son format «mook» à la
ligne éditoriale très tranchée, Pandora rassemble la fine fleur de la bande
dessinée mondiale qui trouve là un écrin à la mesure de son talent et de son
inspiration. Parce qu’il s’agit de récits courts, d’histoires dessinées et de
textes écrits pour Pandora et non un simple «digest», le mélange des genres et
des styles fonctionne assurément. Pour le plus grand plaisir des amateurs de
fiction pure. Diacritik