Les gens sont les gens, roman

Stéphane Carlier

Le Cherche Midi

  • Conseillé par
    14 février 2013

    Nicole Rivadavia psychanalyste parisienne approchant de la soixantaine n’en peut plus. De son couple qui n’en est plus un, de ses patients qui se plaignent. Sur un coup de tête, elle décide de rendre visite à une amie Elisabeth (sous-entendu une ancienne voisine à qui elle n’a jamais donné signe de vie) qui habite désormais à la campagne.

    Partir au vert se ressourcer, voilà l’idée de départ de Nicole. Avec Elisabeth, elles décident d'aller marcher . En chemin, son hôte tient à lui présenter une fermière Raymonde. Et c’est ainsi que Nicole découvre Foufou. Un porcelet de six semaines enfermé pour être engraissé afin de terminer dans les estomacs. Emue par le sort de l’animal et par ses conditions de détention, Nicole le kidnappe et le ramène avec elle à Paris. Elle s’en occupe avec amour et la présence de l’animal va changer sa vie.

    Tout le monde n’est pas sensible au même type d’humour. Ce qui explique peut-être pourquoi je suis restée insensible (et surtout dubitative) suite à cette lecture. J'ai trouvé que l'histoire partait en vrille totale et dans tous les sens...
    Comme quoi, en matière d’humour, ça ne passe pas toujours… Que les défenseurs des animaux se rassurent, Foufou n’est pas mangé (il vécut heureux, cajolé, procurant bien-être autour de lui).