- EAN13
- 9782203292611
- Éditeur
- Casterman
- Date de publication
- 18/09/2024
- Collection
- Romans graphiques
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Casterman 24,95
Quelques semaines à peine après sa naissance, le père d’Anita Conti la baigne
dans l’Atlantique, au large de Lorient. Celle que l’on surnommera plus tard «
la Dame de la mer » ne quittera plus jamais le monde aquatique. Océanographe,
photographe, cinéaste, journaliste, essayiste, Anita Conti a cherché toute sa
vie à percer les mystères de l’océan, de Terre-Neuve aux côtes mauritaniennes,
de l’Adriatique à la mer de Barents. Cette passion devient très tôt un combat
écologique. Dès les années 30, elle lance l’alerte sur les dangers de la
pollution des mers et de la surpêche. Trente ans plus tard, elle tente
d’apporter une réponse en se révélant pionnière de l’aquaculture. Anita Conti
aura passé plus d’heures sur mer que sur terre, partageant ses idées et ses
espoirs avec le Commandant Cousteau. Sa vie est une plongée au cœur d’un monde
inconnu et sauvage, mais surtout un cri d’alarme universel : si les mers
représentent les 3/4 de la surface de notre planète, l’avenir de celle-ci
dépend de leur sauvegarde.
dans l’Atlantique, au large de Lorient. Celle que l’on surnommera plus tard «
la Dame de la mer » ne quittera plus jamais le monde aquatique. Océanographe,
photographe, cinéaste, journaliste, essayiste, Anita Conti a cherché toute sa
vie à percer les mystères de l’océan, de Terre-Neuve aux côtes mauritaniennes,
de l’Adriatique à la mer de Barents. Cette passion devient très tôt un combat
écologique. Dès les années 30, elle lance l’alerte sur les dangers de la
pollution des mers et de la surpêche. Trente ans plus tard, elle tente
d’apporter une réponse en se révélant pionnière de l’aquaculture. Anita Conti
aura passé plus d’heures sur mer que sur terre, partageant ses idées et ses
espoirs avec le Commandant Cousteau. Sa vie est une plongée au cœur d’un monde
inconnu et sauvage, mais surtout un cri d’alarme universel : si les mers
représentent les 3/4 de la surface de notre planète, l’avenir de celle-ci
dépend de leur sauvegarde.
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